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      • 14 février 2008

        Otez, oyez, bonnes gens allaudiennes!

        Nous n'avons pas gagné ... mais nous sommes sur le podium, ex-aequo ... avec Neuilly (vos savez, le *petit* *Allauch de Paris*...), sur la 2ème marche, battus uniquement par ce petit patelin bordelais, qui, s'il avait eu 374 habitants de moins, nous aurait laissé la médaille d'h*OR*reur des communes de plus de 5000 habitants respectant le moins la loi SRU.
        De plus le Plan-Médoc jouit d'un golf double et d'un hôtel 4*!


        la Fondation Abbé Pierre pointe du doigt les villes cancres
        Pour constituer le palmarès 2008 des communes au regard de l’application de la loi SRU, la Fondation Abbé Pierre s’est appuyée sur le bilan des financements de logements sociaux depuis la mise en application de l’article 55 de la loi en 2002.

        voir :
        http://www.fondation-abbe-pierre.fr/_pdf/palmares_villes_2008.pdf







        1 commentaire :

        Anonyme a dit…

        Allauch, dont la moitié des habitants sont locataires, est le bonnet d’âne national en matière de logement social (2,6 %). En 2003, Povinelli avait promis la construction de 319 logements sociaux qu’il n’a jamais réalisé. Il ne respecte pas la loi de la République (loi SRU du 14/12/2000). Or durant la même période il s’est engagé dans de nombreuses et juteuses opérations immobilières qu’il faudra détailler et en dénoncer l’opacité.

        Nous devons démonter le discours lepéniste de Povinelli pour qui logement social = barre HLM qui va défigurer nos belles collines et engendrer trafics de drogues et violences urbaines.

        Nous devons expliquer qu’il est possible de construire des petites unités de logements HLM, qui si elles ne sont pas concentrées en un seul point, évitent la formation de ghettos et favorise la mixité sociale. Ces logements sociaux permettraient aux ménages les plus modestes d’Allauch, chassés par la spéculation immobilière, ainsi qu’aux jeunes qui quittent le foyer familial de rester dans leur ville.

        Nous devons rappeler la tradition d’ouverture d’Allauch, qui a su accueillir dans les années 1930 les réfugiés antifascistes italiens et espagnols, ainsi que les familles expulsées du Vieux Port lors du dynamitage du quartier par les Allemands en janvier 1943. Or aujourd’hui Povinelli ne semble vouloir accueillir que les riches, au risque de transformer Allauch en Beverly Hills de Marseille ?

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