Quand on est jeune, difficile d’habiter Allauch ; en cause, un faible parc locatif et surtout un taux de logements sociaux dramatiquement bas. Ceci explique pour partie le vieillissement de la population allaudienne.
Faire d’Allauch une réserve pour quinquagénaires fortunés ? Pas d’accord ! Les jeunes, mais aussi les personnes aux revenus faibles ou même moyens, doivent pouvoir vivre ici.
Alors que la loi SRU impose, sous peine de fortes amendes, 20% de logements sociaux, dans notre commune ce taux n’était encore que de 3% en 2007 ! A l’époque, au nom de la supposée « tranquillité » de ses administrés, le maire sortant était fier de ce triste record.
Vouloir faire d’Allauch le Neuilly de Marseille, drôle d’objectif pour un maire « de gauche » !
Depuis, la pression d’ELGAA et de ses élus (mais aussi, il faut bien le dire, des médias nationaux) aidant, la situation est en voie d’amélioration (7%); mais on est encore très loin du compte, il faut faire mieux, d’autant que le temps des « barres HLM » est révolu, on peut faire des logements sociaux à taille humaine, écologiques et intégrants.
ELGAA continuera à réclamer une intervention offensive de la commune : gel des terrains communaux et élaboration de projets à maîtrise publique, lancement d’une opération de rénovation de l’habitat en centre-village, diversification des interlocuteurs immobiliers en privilégiant les bailleurs sociaux, mais aussi une plus grande transparence dans l’attribution de ces logements (là aussi on est très loin du compte).
Faire d’Allauch une réserve pour quinquagénaires fortunés ? Pas d’accord ! Les jeunes, mais aussi les personnes aux revenus faibles ou même moyens, doivent pouvoir vivre ici.
Alors que la loi SRU impose, sous peine de fortes amendes, 20% de logements sociaux, dans notre commune ce taux n’était encore que de 3% en 2007 ! A l’époque, au nom de la supposée « tranquillité » de ses administrés, le maire sortant était fier de ce triste record.
Vouloir faire d’Allauch le Neuilly de Marseille, drôle d’objectif pour un maire « de gauche » !
Depuis, la pression d’ELGAA et de ses élus (mais aussi, il faut bien le dire, des médias nationaux) aidant, la situation est en voie d’amélioration (7%); mais on est encore très loin du compte, il faut faire mieux, d’autant que le temps des « barres HLM » est révolu, on peut faire des logements sociaux à taille humaine, écologiques et intégrants.
ELGAA continuera à réclamer une intervention offensive de la commune : gel des terrains communaux et élaboration de projets à maîtrise publique, lancement d’une opération de rénovation de l’habitat en centre-village, diversification des interlocuteurs immobiliers en privilégiant les bailleurs sociaux, mais aussi une plus grande transparence dans l’attribution de ces logements (là aussi on est très loin du compte).
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